SWINGING LONDON WAY

Dans le ‘Swinging Sixties’ de Londres (1963-66), une rock star devient une menace pour le pouvoir établi des ‘Wigs’. En jeu : choc culturel, libération sexuelle
et le ‘Rock’ comme trame sonore de la révolution.










SWINGING LONDON WAY
 
Une comédie dramatique à propos du leader de ladite révolution : MAX.

Il y a de la magie dans l'air. La scène musicale londonienne explose. La mode, le style de vie, les médias de masse et le commerce fusionnent dans une mutation sans précédent.

En Angleterre, pendant les années 60's, l'homosexualité a été dépénalisée, la peine capitale interdite, les lois sur le divorce réformées et la censure artistique dégommée. Le sentiment général était qu’on ne devait plus accepter l’obligation du mariage pour avoir une vie sexuelle, le racisme, l’oppression des classes, l'intimidation, la guerre et la destruction incontrôlée de l'environnement.

Après les années 60, les jeunes portaient les cheveux longs, des vêtements à la mode, consommaient de la drogue et pratiquaient l’amour libre. Au cinéma, dans les galeries d’art, au théâtre, tous faisaient l’apologie de cette révolution des mœurs et coutumes.

"On a l'impression d'être dans une période du futur plutôt que du passé."
- Paul McCartney

Le monde moderne ne sera plus jamais le même après cette période. C’était la fête de la liberté et le germe de tout ce qui nous passionne encore aujourd’hui.